J'ai contacté Monsieur Fin, puisqu'une amie m'a recommandé de le consulter, affirmant qu'il rédigeait des documents avec une qualité supérieure à celle d'un avocat et qu'il maîtrisait les textes de loi, ainsi que les procédures concernant les violences intrafamiliales (VIF) et les violences sexuelles (VSS).
Elle a également précisé : "le contenu de ton message ne se retournera pas contre toi". J'avais rédigé un message exprimant mes émotions, ma colère, mon désespoir et ma douleur en tant que mère séparée de mon enfant dans le but de le protéger.
De plus, l'ASE agit toujours telle une machine à détruire les enfants et à broyer les mères protectrices.
Il faut noter que les agents de l'ASE sont dépourvus des formations en VIF et VSS. Ils agissent sans hésitation d'une autorité absolue, grâce au soutien des juges qui leur confèrent un tel pouvoir sur la vie des mères et des enfants.
L'ASE exerce une influence très malveillante dans ce contexte. Il n'est pas rare que l'ASE diabolise les mères qui ont eu le courage de dénoncer les violences subies par elles et leurs enfants.
Paradoxalement, l'ASE décrit les pères dans leurs rapports au juge comme une victime d’une mère fusionnelle, aliénante, avec problèmes psychologiques, et sans vergogne accusent les mères d'être le danger pour l'enfant.
Ces rapports mensongers sont acceptés par le juge sans remise en question, entraînant des décisions judiciaires biaisées où la mère est accusée d'entraver la relation entre le père et l'enfant.
Les juges acceptent les "informations" diffamatoires fournies par l'ASE comme si elles étaient véridiques. Il est préoccupant de constater que les services sociaux favorisent la protection des hommes violents, des agresseurs et des violeurs, au détriment de la sécurité des enfants.
En France, les mères se retrouvent face à l'ASE qui néglige la protection des enfants, prenant systématiquement parti pour les hommes violents et les agresseurs sexuels.
Face à cette machine institutionnelle et à la crainte que l'ASE n'ajoute davantage de mensonges à leurs rapports déjà diffamatoires, j'ai pris la décision de demander de l'aide pour rédiger un courriel destiné à l'ASE, afin de me prémunir contre les risques associés aux mensonges qui pourraient être utilisés contre moi.
Par conséquent, j'ai transmis mon message à Monsieur Fin, qui a intégré les points mentionnés dans mon message initial et a ensuite rédigé un document formel incluant des références juridiques tout en mettant en évidence les incohérences présentes dans le discours de la fonctionnaire de l'ASE concernée.
Monsieur Fin a démontré une réactivité notable en me fournissant ce document dans un délai très court, malgré ses autres engagements.
Le message adressé à l'ASE a été soigneusement formulé, afin d’éviter toute déformation malveillante, du contenu par ceux qui entretiennent un rapport avec le mensonge.
De plus, Monsieur Fin fait preuve d'écoute et de bienveillance. Dans le contexte actuel marqué par la violence institutionnelle et judiciaire, il est crucial de se protéger, parce qu’un mot inapproprié représente encore de la violence à endurer, de plus c'est très violent. Personnellement, je n'aime pas qu'on me demande "Comment ça va ?", cette simple question ravive en permanence ma souffrance liée à la séparation avec mon enfant après avoir tenté de le protéger d'un agresseur sexuel. J'ai pu lui faire part de ne pas me poser cette question, parce qu'une mère dans ma situation ne pouvait pas aller bien. Monsieur Fin a bien pris ma remarque.
L'ASE soutien l'agresseur, et le juge décidé de placer l'enfant chez cet individu violent et agresseur sexuel, sous l'influence de l'ASE.
Vous pouvez compter sur l’écoute attentive et la réactivité de Monsieur Fin, qui dispose de stratégies adaptées si vous êtes vous-même victime de violences ou si vos enfants y sont exposés. Son expérience antérieure en tant qu'enquêteur à la gendarmerie constitue un atout précieux.
La rapidité dont fait preuve Monsieur Fin est véritablement appréciable, lorsqu'une action urgente s'impose